En ce moment en Guadeloupe, nous sommes en pleine saison cyclonique. L’alizé est quasi absent, et nous guettons la moindre fenêtre de vent pour pouvoir naviguer. Cela ne veut pas dire pour autant que l’entraînement est mis en suspens.
Bien au contraire!
« Etre prête le jour où le vent soufflera » est un mot d’ordre qui me plaît bien.
Dans cette optique, je continue ma préparation physique à terre deux fois par semaine en allant courir ou surfer avec ma mère et mon père.
D’ailleurs un grand Merci à Jean-Louis Sulty de la Martinique, qui a pris le temps de me montrer ce que je pouvais déjà faire à mon âge.
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